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  • Photo du rédacteurHélène Clément

On meurt tous d'avoir vécu

Vraiment captivant et très très intrigant. Attendez-vous à rire...noir noir!


Un roman c'est comme une bouteille de vin. J'aime ou j'aime pas. Et bien, j'ai adoré «On meurt tous d'avoir vécu», de la journaliste Karine Vilder. J'ai été intrigué du début à la fin par son très curieux personnage principal, le journaliste en nécrologie, Louky Crapo. L'homme s'illustre dans l'art de décrire des façons de mourir parfois bien loufoques. J'ai été médusé par les mille et une façon possible de mourir dans la vie. Ça arrive a tout le monde mais on ignore le comment. Un comment qui s'avère parfois très très très original. On rit noir.


Il s'agit d'un premier livre pour la chroniqueuse littéraire du Journal de Montréal. Et quelle plume ! Un roman original teinté d'un humour parfois, disons, macabre. Instructif aussi avec une infinité de détails de la vie (et de la mort) qui fait que l'on apprend des tonnes de choses en plus de découvrir un domaine du journalisme que j'ignorais totalement: la section des viandes froides. Il s'agit de rubriques nécrologiques rédigées à l'avance - en général des gens connus, et conservées au frais jusqu'à ce que mort de ces célébrités s'en suivent.


Vous connaissez les Darwin Awards, cette distinction morbide que personne ne souhaite décrocher, mais qui fait rigoler toute la planète ! En effet, ces prix récompensent les morts les plus stupides survenues dans l’année. Et bien voilà ce que vise Louky Crapo...




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